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| Cette mise en scène permet d'une part d'associer décors et figurines et d'autre part de reconstituer une hypothétique rencontre de cavalerie, au détour d'un sentier comme s'est arrivé maintes fois au cours des conflits du passé. |
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| Des éléments du régiment de dragons autrichiens "Knesewich", débouchent de la grand rue d'une petite bourgade afin d'y vérifier que les Français ne l'occupent pas. |
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| L'avance est prudente mais le nombre de cavaliers est imposant. |
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| Un regard rapide est jeté en passant pour vérifier que les maisons n'abritent pas de tirailleurs ennemis. |
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| L'élément de reconnaissance s'engouffre au galop dans la localité afin d'en déboucher et de poursuivre sa mission. |
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| Un général de cavalerie lourde allemande encourage ses hommes. |
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| Puis c'est l'avalanche ! |
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| Des éléments de tête du 9e régiment de hussards français chargent dans le croisement. |
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| L'infanterie autrichienne qui a suivi sa cavalerie commence à investir le village et ouvre le feu sur les cavaliers français qui sortent de partout au grand galop. |
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| L'abordage est rapide et violent. |
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| La compagnie d'élite du 9e hussard se précipite la première. |
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| Déjà des fantassins autrichiens montés aux étages tentent de couvrir de leurs feux les dragons en mauvaise posture. |
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| Derrière la compagnie d'élite se succèdent l'état-major du régiment et les autres escadrons. |
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| La cavalerie est plus à l'aise en terrain découvert que dans des rues étriquées où la manoeuvre est impossible. |
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| Le centre du village fait l'objet d'un combat épique. |
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| La mêlée est générale. |
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| Soit un parti l'emporte et cède le terrain à l'adversaire, soit les deux cavaleries se retirent afin de rendre compte à leur hiérarchie respective de la progression de l'armée adverse. Dans le cas présent, les dragons autrichiens qui ont subi davantage de pertes liées à l'embuscade ont été obligés de refluer en désordre. Les hussards essuyant des tirs de plus en plus nourris et ne pouvant occuper le terrain conquis, sont eux aussi contraints de se retirer. |
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